- toi qui détestes la correction et rejettes mes paroles ? - Lire dans le contexte
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- Mais ils se sont rebellés et se sont révoltés contre toi ; ils ont rejeté ta Loi loin derrière eux, ils ont tué tes prophètes qui les adjuraient de revenir à toi et ils ont été coupables de grandes offenses.
- Qui aime l'éducation aime la science, qui déteste les avis est stupide.
- La crainte du SEIGNEUR est le principe du savoir ; sagesse et éducation, seuls les fous s'en moquent.
- Viendra un temps, en effet, où certains ne supporteront plus la saine doctrine, mais, au gré de leurs propres désirs et l'oreille leur démangeant, s'entoureront de quantité de maîtres.
- et par toutes les séductions de l'injustice pour ceux qui se perdent, faute d'avoir accueilli l'amour de la vérité qui les aurait sauvés.
- Eh bien ! toi qui enseignes autrui, tu ne t'enseignes pas toi-même ! Tu prêches de ne pas voler, et tu voles !
- Et comme ils n'ont pas jugé bon de garder la connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à leur intelligence sans jugement : ainsi font-ils ce qu'ils ne devraient pas.
- En effet, quiconque fait le mal hait la lumière et ne vient pas à la lumière, de crainte que ses oeuvres ne soient démasquées.
- Mais ils diront : « Rien à faire ! Nous poursuivrons nos projets, et chacun de nous persistera dans son entêtement exécrable. »
- Les sages sont confondus, ils s'effondrent, ils sont capturés ; ils méprisent la parole du SEIGNEUR : en quoi donc peuvent-ils se dire experts ?
- Mais celui qui m'offense se blesse lui-même. Tous ceux qui me haïssent aiment la mort.
- alors ils m'appelleront, mais je ne répondrai pas, ils me chercheront mais ne me trouveront pas.
- tu as agi plus mal que tous ceux qui ont été avant toi : tu es allé te fabriquer d'autres dieux et des statues au point de m'offenser ; et moi-même, tu m'as rejeté derrière ton dos.
- Chaque fois que Yehoudi avait lu trois ou quatre colonnes, le roi les découpait avec un canif de scribe et les jetait au feu du brasero, si bien que tout le rouleau finit par disparaître dans le feu du brasero.
- Ils justifient le coupable pour un présent et refusent à l'innocent sa justification.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV